Bières d'Alsace
Résumé :
Origine France   Coût  
Région Alsace   Difficulté  
Saison Toutes   Préparation  
Source http://terroirs.denfrance.free.fr Terroirs d'en France
News d'Ill
CUEJ
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samedi 30 mars 2002 à 20:24:43

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Observation L'abus d'alcool est dangereux. Consommer avec modération et jamais durant la période de croissance.   Portail

Magicam :



La première brasserie strasbourgeoise apparut en 1259. Au 14e s. elles étaient sept.



1855 : la blonde d'Alsace part à la conquête de l'Ouest

De la moitié du XIXème siècle jusqu'à la défaite de 1870, la brasserie alsacienne vit un véritable âge d'or.

En un temps record, grâce aux progrès scientifiques et techniques, la production augmente considérablement, la qualité du breuvage s'améliore. Les brasseurs acquièrent un véritable pouvoir politique et économique. Et la bière alsacienne part à la conquête de Paris et du reste du pays... Mars 1998

Il n'y a que le dimanche pour interrompre le trafic. A la veille de la défaite de 1870, un train relie six jours sur sept Strasbourg à Paris. Un train sans voyageur, rempli uniquement de la boisson dont s'est entichée la capitale : la bière alsacienne.



Histoire :


La conquête de l'Ouest a commencé en 1855, trois ans après l'ouverture de la ligne Bâle-Paris via Strasbourg. Les vingt heures du trajet permettent à la bière de ne pas trop souffrir des secousses et des changements de température. Le succès est foudroyant. De 7000 hectolitres en 1854, la consommation parisienne passe à 40 000 en 1869. La vogue de l'«or blond» alsacien est nationale. «La bière devient la boisson numéro 1 des militaires et des ouvriers, à un moment où les cités manufacturières se multiplient», explique Jean-Claude Colin, président d'Eurobière. Des expéditions ferroviaires sont organisées vers Lyon et le sud de la France. En 1869, c'est 300 000 hectolitres de bière alsacienne sur les 440 000 produits qui sont exportés.

Le plébiscite est aussi qualitatif. Lors de l'Exposition universelle de 1867, à Paris, des brasseurs alsaciens s'associent et construisent une cave et un kiosque en gare de l'Exposition. Un concours de bière est organisé. Les médailles d'or pleuvent sur les brasseurs strasbourgeois et fleurissent sur leurs enseignes, comme à la brasserie des Quatre Vents de Burger ou de l'Aigle d'or de Diemer. La bière alsacienne bat ses rivales européennes réputées allemandes ou anglaises.

Cet engouement des années 1860 1870 est le résultat du travail d'une profession qui a su quitter l'ère artisanale, pour suivre la révolution industrielle. Les brasseurs strasbourgeois accompagnent ce mouvement, contrairement à ceux du nord de la France, l'autre grande région brassicole.

Symbole de cette modernisation : l'adoption du procédé de fermentation basse, technique qui n'existe quasiment pas dans le Haut-Rhin, excepté à la brasserie de Lutterbach. C'est une révolution.

En quittant la fermentation haute, on abandonne une bière brassée dans des installations sommaires, intransportable du fait de son éphémère conservation, pour une boisson consommable douze mois, d'une grande stabilité car indifférente aux écarts de température saisonniers.

Les améliorations industrielles touchent toutes les phases de fabrication du produit. La chaudière à vapeur, utilisée pour le pompage de l'eau nécessaire au brassage et au nettoyage des cuves, apparaît à partir de 1830. En 1867, 22 des 54 brasseries de Strasbourg en sont équipées, toutes des pièces uniques fabriquées sur place. L'invention du four industriel permet aussi de brasser toute l'année, et non plus seulement de la Saint-Michel (29 septembre) à la Saint-Martin (11 novembre). Pour la conservation, on construit d'immenses caves, équipées de glacières refroidissant l'air en toute saison.

Comme pour la fermentation basse en 1847, Louis Schutzenberger, dans sa brasserie de la Patrie à Schiltigheim, est un pionnier : il creuse des caves de sept mètres. Ancien chimiste reconverti dans la production brassicole, David Gruber est lui aussi un précurseur dans le domaine de la réfrigération : il installe des rafraîchissoirs aseptisés et introduit le chauffage à la vapeur, permettant de contrôler la température à tous les niveaux. De grands progrès hygiéniques à l'époque où Pasteur met à jour l'existence des micro-organismes responsables de la fermentation et de la dégradation du goût (1859).

Cette modernisation n'est pas partagée par tous. Les petits brasseurs, qui s'étaient lancés dans la profession au lendemain de l'abolition des corporations en 1791, n'arrivaient pas à accompagner financièrement ce mouvement. De 71 en 1851, les brasseries strasbourgeoises passent à 47 en 1869. L'auberge-brasserie décline. On ne consomme plus sur place. Le brasseur devient chef d'entreprise et commerçant. Il fabrique, vend et livre la bière (les premières bouteilles font leur apparition).

Beaucoup quittent le centre ville, où ils manquent d'espace, pour Schiltigheim, Cronenbourg ou Koenigshoffen. Schiltigheim, où le sol argileux permet de creuser de grandes caves, gagne son nom de «cité des Brasseurs». S'y installent Ehradt et sa Petite Étoile Rouge, Schutzenberger (1863), Louis Hatt et sa brasserie de l'Espérance... Ils seront rejoints plus tard par Fischer et son enseigne du Pêcheur, Kronenbourg, Adelshoffen et la Perle.

Cette croissance a un effet moteur sur les autres secteurs économiques de la région. La production de l'orge se développe. Des ateliers de fonderie et de chaudronnerie, pour la construction des machines à vapeur, s'installent à proximité des «usines à bière». Les brasseurs, qui emploient plus de 500 ouvriers par an en moyenne, sont conscients de leur influence. En 1867, le syndicat des brasseurs, par la voix de son secrétaire, Jean Burger, se réjouit que «grâce à [leur] puissant concours, un établissement mécanique, presque sorti du néant, grandit et prospère rien qu'en fabricant l'outillage et le matériel de brasserie.»

De ce poids économique, les brasseurs strasbourgeois dégagent un pouvoir politique. Comme les grands «barons d'industrie», ils fondent des dynasties riches et puissantes : l'ensemble des brasseurs de Strasbourg versent 1 149 497 francs (hors octrois et contributions directes) au Trésor. L'allée de la Robertsau est surnommée l'allée des Brasseurs : de grandes villas imposantes y sont bâties, comme la demeure du clan Schutzenberger. Plusieurs d'entre eux participent au conseil municipal de Strasbourg. Un des membres de la famille Schutzenberger, Georges Frédéric, sera maire de la ville d'avril 1837 à mars 1848 et député de 1842 à 1845. Il jouera un rôle primordial dans l'achèvement de la ligne directe de chemin de fer Paris-Strasbourg, maillon essentiel du succès de la bière dans la capitale.

Dès 1831, les brasseurs se sont regroupés en syndicat. Le premier secrétaire en est alors Philippe Hatt, de l'Espérance. Sept des principaux entrepreneurs sont chargés par leurs confrères de trouver de nouveaux marchés face à l'augmentation naissante de la production. Le syndicat se montre particulièrement inquiet de la concurrence étrangère. En 1846, dans une lettre au ministère des finances, il s'offusque de l'augmentation de la production d'outre-Rhin. Six ans plus tard, il réclame, sans succès, une surtaxe des bières étrangères arrivant en France. En 1867, Jean-Burger revient à la charge contre l'éternelle rivale allemande «beaucoup plus favorisée (...) par le climat, les capitaux dont elle dispose et notamment la suppression presque complète des droits d'entrée en France».

Ironie de l'Histoire, les brasseurs alsaciens seront victimes des surtaxes qu'ils réclamaient pour les bières étrangères. Douze ans après l'annexion allemande, le gouvernement français décide d'augmenter le droit d'entrée sur les bières étrangères. Y compris sur les blondes alsaciennes. La même année, ce ne seront que 15 000 hectolitres de «l'or blond» qui seront exportés vers la France.

Nadia Vedelago
Ludovic Vigogne



La bière en trois étapes


D'abord le brassage, qui dure 8 heures. Première phase : le malt est mélangé à l'eau dans la cuve. Les grains crus sont bouillis dans la chaudière à trempe, trempe versée dans la cuve matière. Cette «soupe» est ensuite filtrée afin de la débarrasser de ses impuretés. Deuxième phase : le moût ainsi obtenu est bouilli avant d'y ajouter le houblon qui donnera à la bière son amertume.

Vient ensuite la fermentation. Au XIXème siècle, on passe de la bière de fermentation haute, brassée dans des installations sommaires, à une fermentation basse, avec des techniques modernes. La fermentation haute s'opère à une température allant de 15 à 20 degrés pendant cinq jours maximum. La levure remonte en surface où elle est écumée pour donner des bières spéciales (ambrées, rousses ou brunes).

La fermentation basse est née des recherches des brasseurs bavarois, autrichiens et bohémiens. Elle commence à une température d'environ 7 degrés pour atteindre 12 degrés avant d'être ramenée à 7 degrés. Cette première maturation prend de 7 à 10 jours. Elle est suivie d'une seconde appelée «fermentation de garde» qui dure de 4 à 6 semaines.

Une fois la fermentation accomplie, le stockage peut commencer. La jeune bière est débarrassée de ses levures puis conservée dans des cuves de garde. Elle y séjourne alors selon un temps variable. Puis elle est soutirée après une ultime filtration.

Aujourd'hui, sept brasseries en Alsace produisent 55% du volume national, avec plus de 10,4 millions d'hectolitres (chiffres 1995). Parmi elles, deux sont restées indépendantes des grands groupes financiers : Schutzenberger (la doyenne) et Météor. La brasserie de Saverne a été rachetée par le groupe allemand Karlsberg, Kronenbourg est une filiale de Danone et les brasseries Adelshoffen, l'Espérance et Fisher font partie du groupe Heineken.


Le paternalisme à l'alsacienne


Le syndicat des brasseurs renaît en 1860 pour réglementer les droits et devoirs de ses ouvriers. Protestant, le brasseur se montre soucieux de son personnel, voire paternaliste.

Les patrons brasseurs strasbourgeois veulent s'assurer un personnel fidèle et engagé dans la vie de l'entreprise. En 1867, 54 brasseries employaient en moyenne 504 ouvriers par an, qui tous étaient logés et nourris dans l'établissement.

Les ouvriers sont strictement encadrés sur leur lieu de travail et dans leur vie privée.

Selon le règlement du travail des brasseries de 1860, un «bon ouvrier» se doit d'être «docile et respectueux», de ne pas rester sans rien faire. Il est responsable des outils qui lui sont confiés. Engagé définitivement après une période d'essai, l'ouvrier ne peut se faire renvoyer sans un préavis de huit jours (sauf en cas de faute grave). Mais il est totalement soumis au bon vouloir de son patron qui fixe les horaires et les jours de travail. Il ne peut pénétrer dans un débit de boisson sans l'autorisation de son patron et ne doit jamais être ivre. En cas de faute professionnelle, le patron se rembourse directement sur le salaire de l'ouvrier. Mais «le bon ouvrier» peut obtenir une lettre de recommandation reconnue dans la France entière.

Comme d'autres villes en France, il existe à Strasbourg une caisse de secours mutuels à laquelle chaque ouvrier est tenu d'adhérer. Cette caisse paie, en cas de maladie, les frais hospitaliers. Le syndicat des brasseurs envisageait d'en créer une spécifique à la profession. C'est la brasserie Adelshoffen qui accordera à la fin du siècle le plus d'avantages à son personnel : après deux ans d'ancienneté, l'ouvrier percevait des primes et en cas d'accident du travail, la brasserie versait au malade l'équivalent de la totalité du salaire sans limitation de durée. Sous la domination allemande, les lois sociales de Bismarck en 1882-83 n'eurent donc aucun mal à être adoptées par les brasseurs strasbourgeois.


© CUEJ/D. Muller

News d'Ill
Le texte ci-dessus provient du site de cette revue, éditée par le
Centre Universitaire d'Enseignement du Journalisme
11, rue du Maréchal Juin - BP 13 - 67043 Strasbourg Cedex
Téléphone : 03 88 14 45 34 - Télécopie : 03 88 14 45 35
scola@cuej.u-strasbg.fr
Revue très pointue. Site à consulter. L'Ill est un affluent du Rhin.

Sites consacrés à la bière et aux bières (pas forcément d'Alsace):

Magicam Le site qui mousse



Bières d'Alsace : un produit et une industrie vivante


DES TROPHÉES POUR LA BIÈRE D'ALSACE...

La brasserie Fischer, à Schiltigheim, vient de se voir remettre un trophée par le magazine Bière Magazine dans le cadre du salon international Bièrexpo 2001 de Lille. L'Alsacien a été primé dans la catégorie plus d'un million d'hectolitres pour sa capacité à innover (bières Desperados, Doreleï), «tout en maintenant les traditions les plus anciennes», une malterie intégrée et la fermentation en cuves ouvertes notamment. Autres Alsaciens remarqués: Kronenbourg obtient le trophée de la campagne publicitaire de l'année «pour avoir rénové avec humour et intelligence le personnage de Maître Kanter, «une des figures les plus marquantes de la publicité pour la bière des dernières décennies»; la brasserie Météor (Hochfelden) empoche le trophée de la bière de tradition de l'année avec Wendelinus «pour avoir renoué avec le passé monastique des bières d'Alsace»; enfin, last but not least, Rina Muller, pdg de la brasserie Schutzenberger (Schiltigheim) et présidente des Brasseurs d'Alsace, quitte Lille avec le trophée de la Femme de l'Année «pour la détermination de la seule dirigeante d'une grande brasserie française à développer son entreprise en élaborant des bières innovantes».

L'article ci-dessus provient du Journal L'Alsace du 24 Avril 2001. Ce journal est une référence et son site très clair. Chaque fois que je fais une recherche sur un produit ou une activité en Alsace, je trouve au moins un article dans leur site.

La première brasserie strasbourgeoise apparut en 1259. Au 14e s. elles étaient sept. Actuellement les brasseries sont toujours implantées à Strasbourg, mais aussi à Hochfelden, Obernai, Saverne et Schiltigheim et brassent toutes sortent de bières : blondes, brunes et bières spéciales qui figurent parmi les meilleurs d'Europe. Cette renommée est due d'une part à la pureté de l'eau de la Plaine d'Alsace, qui issue des montagnes vosgiennes se caractérise par une heureuse proportion de calcaire, et d'autre part à la qualité du houblon et de l'orge qui, essentiellement cultivés au nord-ouest de Strasbourg dans la région du "Kochersberg", entrent dans leur fabrication. On éprouve en les buvant une sensation exquise de finesse et d'amertume. De nos jours les brasseries alsaciennes brassent 50 % de la production nationale et réalisent 75 % des exportations nationales de bière. L'Alsace est riche de ce qu'il faut pour créer une AOC de la bière. Elle a l'eau en abondance, est la première région française pour la production de houblon qu'elle exporte dans le monde entier, dispose du savoir-faire de ses brasseurs et d'une malterie. La seule chose qui lui manque, c'est l'orge.

En fait, le débat sur le label " bière d'Alsace " redevient d'actualité dès qu'une brasserie doit fermer. C'est ainsi que les grévistes de la brasserie de Mutzig, fermée par Heineken en 1989, en revendiquaient déjà la création. Aujourd'hui, c'est au tour de ceux d'Adelshoffen. Dans les années quatre-vingt, les brasseurs indépendants d'Alsace menaient une réflexion dans ce sens. Elle n'a jamais abouti, en partie à cause du rachat de Fischer et d'Adelshoffen par Heineken, en 1996. Depuis, les derniers indépendants d'Alsace, Météor et Schutzenberg, préfèrent jouer la carte de l'innovation en élargissant leurs gammes avec de nouvelles bières : Mortimer, bière de mars, etc.

Pour en savoir plus :


Jean-claude Colin et Jean-Daniel Potel-Jehl, La bière en Alsace, Éditions COPRUR, 1989.
Jean-Claude Colin, Les chemins de la bière, Éditions COPRUR, 1994.
Jean Burger, Statistiques sur l'industrie de la brasserie, Strasbourg, 1867.

Bières d'Alsace

Brasserie Kronenbourg

Marque de distribution :


Déclinaisons :


Embouteillage :


Propriétés et indications :


Production :


Pour en savoir plus :


Brasserie Heineken

Historique de la Marque Heineken


Heineken est la marque de bière la plus distribuée dans le monde.

Au milieu du XIX siècle aux Pays-Bas, Gérard Adriaan Heineken rêve de brasser sous son nom une bière blonde, fine et de qualité constante.

En 1863, G.A Heineken rachète à Amsterdam (Hollande-Septentrionale) la petite brasserie De Hooiberg (la Meule de Foin) qui s'était créée en 1592. En 1867, une nouvelle brasserie est construite au STATHOUDERSKADE. Celle ci est depuis devenue le Centre d'Accueil Heineken.

C'est alors qu'il commande au docteur français H. Elion l'une des premières cultures de levure pure, et en 1886 ce dernier met au point la levure A qui constitue la base du goût spécifique de la marque Heineken.

Et deux ans plus tard, la marque Heineken remporte le grand prix de Paris pour la qualité de sa bière à l'Exposition Universelle.

La levure A, toujours utilisée aujourd'hui, est cultivée à Amsterdam et expédiée par avion aux brasseries Heineken du monde entier, au fur et à mesure des besoins .

De 1914 à 1951, son fils Henry entre en activité dans l'entreprise et parvient, en introduisant de nouvelles techniques de production, à produire une bière de qualité constante, atout déterminant.

Alfred H. Heineken prend la relève en 1942. Formé à l'école Américaine, il institue dès l'après-guerre l'usage du marketing et de la publicité. Ainsi, il construit la renommée de la petite bouteille verte.

De Sleutel (la clé) et rachetée en 1950. Son concurrent Amstel en 1968. La majorité des actions de Alsacienne de Brasserie en 1972 qui devint en 1980, Heineken France SA.

Au début des années 1960, le groupe Heineken confie sa distribution en France à Moët et Chandon. Cette association positionne d'emblée Heineken dans l'univers des bières de prestige.

Après le rachat de l'Alsacienne de Brasserie en 1972, le groupe Heineken décide en 1976, d'assurer lui-même la commercialisation de sa marque. Commence alors le véritable développement de la marque en France.

De nos jours, la marque Heineken est présente dans près de 80 % des café hôtel restaurant français. Elle est, loin devant ses rivales, la bière la plus représentée.

Sa production mondiale atteint en 1995 les 17 millions d'hectolitres.

Distribuée dans 170 pays, Heineken est aujourd'hui la première marque internationale de bière. La famille Heineken détient toujours des parts considérables de cette brasserie.

J'ai trouvé l'essentiel de ce résumé sur le site Grande Brasserie de Nouvelle-Calédonie


Marque de distribution :


Déclinaisons :


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Propriétés et indications :


Production :


Pour en savoir plus :


Brasserie Fischer

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Production :


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Brasserie Adelshoffen.

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Brasserie Saverne

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Brasserie Schutzenberger

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La fabuleuse et monumentale collection "Inventaire du patrimoine culinaire de la France". Cette collection compte un tome par région soit 26 ouvrages de référence . C’est une réalisation du Conseil National des Arts Culinaires, présidé par Alain Senderens (l'Archestrate, Lucas Carton) et mandaté par les Ministères de la Culture et de l'Agriculture. Ces ouvrages sont très récents. Ils sont le fruit d'années d'enquêtes (encore en cours dans certaines régions) pour collecter les traditions et les savoir-faire des terroirs. Ils sont la mémoire totalement indispensable à la préservation et au témoignage du passé vivant. Ils recensent les produits traditionnels de chaque région (boissons, spiritueux, boulangerie, pâtisserie, confiserie, charcuterie, fruits, légumes, produits des eaux, produits laitiers, viandes etc. ...) et les recettes. Ne sont retenus que ceux qui s'inscrivent dans une tradition, un savoir-faire ancien et toujours vivant et une spécificité territoriale forte. Ils font l'objet d'une étude contextuelle, de recherches des origines, des facteurs naturels et sociaux etc. ... Rares, ces ouvrages connaissent de petits tirages et sont régulièrement maintenus à jour. Ils sont approvisionnés à la demande auprès de l'éditeur. Fantastique. Format 14 x 22, reliés. Commandez-les à partir du site http://terroirs.denfrance.free.fr.


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